Le RP, Azgoth et les Ghrax

Le nain repondit a menedas sans savoire qui c'etait

Hé bien... c'est justement la qête que je menai il y a quelque jours avec une troupe entiere d'aventurier, mais lors d'une bataille on s'est dispercer et depuis plus aucune trace d'eux, je serait heureux de pouvoire poursuivre l'aventure a tes cotés.

Shikoru après avoir pu donné un coup de main à ces personnes découvrit leurs visage, et surtout leurs taille, en voyant un nain, il souriait de satisfaction, enfin il avait trouver quelqu'un de plus petit que lui. Puis l'arrivé de l'homme sombre le surpris. Il se retourna sans même avoir pu apercevoir son approche. Il écouta ce qu'il avait à dire tout en remettant ses manches tel qu'elle devaient être. Puis prit la parole à son tour.

En fait, ce n'est pas du tout l'objet de ma présence. Mais j'ai entendu parler de vos problème, et j'en ai conclu que ma quête pouvait être lié à ce problème, et cela me permettera d'avancer.

Puis il s'arréta un instant et se gratta la tête. Il regarda son loup dans les yeux, celui ci acqiéssa de la tête, comme s'il comprenait le language humain. Il redirigea son regard vers l'homme sombre, puis repris la parole.

Très bien, mais je veux que vous me donniez l'autorisation de mener ma quête également, en parrallèle. Bien entendu cela aurait pour effet de nous séparer si les circonstances m'y pousse. Alors, vous êtes d'accord?

Il tendit alors la main vers cette homme pour la lui serrer, uniquement si ses conditions étaient acceptés. Il avait tout de même une étrange impression sur celui qui lui avait proposé de le rejoindre. C'était un homme sombre et peu recommendable au premier abord, mais il avait tout de même une certaine confiance.

Ménédas écouta l'homme sauveur, et il comprit son point de vue. Cependant quand il lui tendit la main, il voulu le repousser puis comme une petite voix dans son crâne lui dit qu'il fallait les tuer, les massacrer et se nourrir de leur carcasse morte et encore chaude... Surprit de cette pensée violent il la repoussa et tendit la main, mais sa main était noir, en fait il coulait de sa peau du sang, un sang noir... Il fut prit d'effroi, il se voyait maintenant comme un démon, exactement tout se qu'il à combattu et tout se qu'il haïssait. Il rabattit sa main rapidement dans sa robe noir et prit la parole :

"Bien euh bon c'est entendu, la nuit tombe et l'armée Ghrax n'est pas très loin, prenons la route vers Gurias, un d'entre nous devrait là connaître, c'est la principale ville naine, sous la montagne de Goferia. J'espère rencontrer l'état major pour résister aux Ghrax, dommage que cette race soit si égoïste et n'a pas voulut entrer dans le conflit plus tôt... Bref partons la route est longue."

Maintenant calmé, Ménédas ne pensait plus à son état bizarre priant pour que cela ne se voie pas trop et que ça n'empire pas. Il attendait maintenant la réponse...

L'homme encapuchonner semblait un rien stresser, bizare... pourquoi a t'il ranger aussie vite sa main au lieu de la serrer a shikorue. Gurdil mit son sac sur son dos pret a partire et demenda a menedas.

tu me semble bien etrange, quel ton nom ?

Andreas donna un coup de coude à Toragon et lui dit à l'oreille : '' Je ne crois pas que cet homme puisse nous aider... Je vois un sombre dessein en lui''. Andreas arrêta de parler, voyant que le nouveau venu les regardait.

Andreas prit un air détaché et sortit sa lance, faisant mine de l'utiliser comme bâton de marche. Si l'homme attaquait Toragon, il aurait à faire à lui et à sa lance. Par contre si il décidait d'attaquer l'autre homme, Andreas n'y voyait pas d'inconvénient. Après tout, il n'avait pas donné son accord sur la nouvelle compagnie...

Aprée les parole d'andreas gurdil reflchit, dés que menedas arretat de le regarder il lui dit.

c'est vrais qu'il a l'aire un peu stresser, et puis... ce ne doit pas être un hasard si il cache son visage.

la nain regarda une fois de plus menedas en atendant une reponse qui semblait attendre.

Bon alore quel est ton nom ? tu devrais te decapuchonner on est entre nous...

Ménédas semblait vraiment agacé par les tas de question, puis il leur répondit :

"Mon nom n'a aucune importance, j'oeuvre pour le bien, et mon visage n'a aucune importance, je ne vous ferais aucun mal."

*Enfin si il ne font pas de bêtises*

"Nous avons la même quête et ce monde est bord du gouffre, je crois que l'on joura au devinette une autre fois Gurdile"

Puis il se retourna et commenca à avancer puis il prit la parole :

"Alors vous venez, moi j'ai un monde à sauver, et toi Shikoru je t'aiderais. Il faut avancez alors suivez moi... et de près, l'endroit grouille de Ghrax!"

Le nain pris son sac, le mit sur ses epaules suivit menedas d'un aire ettoner.

bon hé ben... on y vas

A peine eu t'il avancer de trois pas il se retrouva nez a nez avec un loup qu'il n'avait pas vue jusqu 'ici, pris de panique il prit son épée pur tenter de le faire fuire ou de le tuer si celuis-ci ne partait pas.

hé aidez moi... y a un loup qui veut ma peau!!

Après avoir ce qu'il s'était passé, Shikoru claqua des doigts, puis continuant à marcher, son loup le rejoint, marchant à la même allure que son compagnon. Il s'adressa alors au nain.

Si tu oses toucher à ce loup, je n'hésiterais pas à te congelé avant de te renvoyer au fond de ce gouffre.

D'après sa facon de parler on pouvait s'apercevoir que la situation de ce pays était critique. Il se dirigea alors vers celui qui semblait être le plus apte à mener l'actuel petit groupe à la victoire, celui qui était le plus mystérieux de tous. Il avait l'air inquiet.

Je ne me permeterrais pas de parler de ce qui ne me regarde pas, je ne te poserais aucunes questions. Mais j'ai remarquer la noirceur de ta main ensanglantée, et saches que si tu souffres, mon froid pourrais le calmer.

Le loup se précipita vers son maître, lui tirant la manche pour se faire remarquer. Shikoru le regarda alors et compris tout de suite ce qu'il se tramait. Il sortit alors son katana de la main droite, et mit sa main libre sur son couteau accroché à sa cuisse gauche. Il s'adresa alors au groupe entier d'une voix basse.

Préparez-vous, il y a un de la vie dans le coin, mon loup à repéré une odeur non-humaine.

Ménédas était soulagé de la réponse positive de ses compagnons, il se disait que son état était temporaire et qu'il redeviendrait comme avant, mais il n'est plus comme avant... Puis Shiroku lui parla, et semblait s'intéresser à son état. Mais Ménédas fut désemparer quand il avoua avoir remarquer sa main, il ne voulait rien dire puis voulu en parler mais Shiroku l'interrompra, expliquant que l'on va avoir de la visite :

"Rester derrière moi, je vous protégerais."

Ménédas se prenait comme un justicier, tout ce qu'il voulait être et ainsi il luttait contre ce qu'il était devenu, pourtant il doutait de ses talents et de sa force... Allait t-il pouvoir se maîtriser ?

le nain pris sa hache derriere son dos, prêt a attaquer a tout moment et dit a shikorue.

et ton loup peut te dire ce que c'est et combien son t'il ? il pourait nous être utile dans ce cas...

Shikoru eu un petit sourire à la question du nain. Il s'apprêtait toujours à une attaque adverse. Il fit un signe de tête à son loup qui s'enfoncait seul dans la direction de cette odeur, Shikoru avait l'air inquiet à l'idée de le laisser partir seul vers ce qui pourrait être un de ces monstres. Il n'en avait jamais vu, mais il en avait entendu parler mors de son voyage sur ce continent. Et cela ne le rassurait pas du tout.

Nous ne somme pas de ce continent, et par conséquent il ne connais pas cette odeur. Mais ne soit pas si exigent, nous sommes déjà prévenue d'une arrivée inconnue. Soyons sur nos gardes et attendont le retour de Ookami.

Puis il tourna son regard vers celui qui n'a pas voulu donner son nom, et cela ne faciliterais pas l'entente en combat.

Ne la joue pas perso, nous sommes plusieur et nous devons utiliser ce nombre comme un avantage, nous aussi savons nous battre. Mais plus important, Ookami ne devrait plus tarder, alors un peu de patience, nous saurons bientôt si nous devons fuir, ou tenter notre chance.

Gurdil regardait Menedas avec attention, et il décortiquait le moindre de ses gestes, bizarrement le nain avait l'impression de le connaître, il en était même certain.

Mais qui cela pourrait t'il bien être ? Je suis sur que je le connais, j'ais déjà entendue sa voix... et j'ai déjà rencontrer son coter mystérieux a la fois intriguant et apeurant, mouais étrange... et si je le décapuchonnais par surprise, non! Il m'en voudrait trop.

Pensas Gurdil en l'observant, quand soudain un bruit sacha ses pensées, c'était le loup de Shikorue qui revenait ver son maître en traitant les pattes, on allait enfin savoir, baston ou fuyons ?

Depuis l'annonce d'une probabilité d'attaque, Andreas serrait sa lance de toute ses force. Son ami nain avait sa hache, mais ses deux nouveaux compagnons ne lui inspirait pas confiance. Et si c'était Shikoru qui les menait dans un traquenard.

Andreas restait sur ses garde. Toutes ses années de combat intense allait bientot lui servir et peut-etre contre ceux qui s'y attendrait le moins.

Le loup revenait en courant, il semblait extrèmement nerveux. Comme si il avait vu le diable en personne. Il s'approcha rapidement de son maître et tracait 2 lignes au sol. Shikoru le regardait et lui donna une caresse.

Ces créatures, elles sont bien les Ghrax?

Le loup regardait toujors son maître avec un regard affirmatif. Puis il entama une nouvelle série de traces sur le sol. Il s'arréta au nombre de 4 avant d'hésiter et d'en ajouter une nouvelle. Shikoru qui s'était acroupit se releva et se tourna vers celui en qui il avait bizarement le plus confiance.

Ce sont des Grax, au nombre de deux. Ils se trouvent à 4 ou 5 kilomètres vers l'ouest. Ils se dirigent vers nous plutôt rapidement, après avoir vu Ookami ils ont encore accéléré, mais ils ne devront plus tarder. Il nous faut vite une solution. Et j'ai un plan. Voilà ce que je vous propose.

Il rangea son katana et commenca à expliquer son plan aussi vite qu'il le pouvait. Il se déplaca de facon a ce que tout le monde le voit.

J'envoie Ookami à leur rencontre, il les amène ici même. Durant l'absence de Ookami nous nous cachons, il les fera passer sur cette route. Il ne s'arrétera pas. après leur passage j'utiliseras mes couteaux de lancé pour visé un des deux, pour l'handicaper. Ils feront alors demi-tour, j'utiliserais ma glace pour stopper le second. C'est là que vous interviendrez, face à eux ma glace ne résistera pas si je ne la maintien pas, vous vous occuperez de celui que j'aurais déjà blessé. Mais vous devrez faire vite, parce qu'avec leur force, en tout cas ce que j'en ai entendu, je ne tiendrait pas longtemps. Alors vous en pensez quoi? Et si vous avez une autre idée, j'suis preneur.

Ménédas souri quand il entendit le discours de Shikoru, puis il prit la parole :

"Ha ha! Vous savez jeune chasseur, les Ghrax sont une espèce extrêmement puissante et sauvage. Ils ressemble à de hideux minotaures dotés d'une force incroyable, et le pire c'est que ils se déplace rarement seul, si tes informations sont fiables d'autres Ghrax vont venir. Nous ne pouvons plus attendre, il faut absolument avancer, de plus l'hiver arrive, les nuits sont très froide en ce moment. Désolé Shikoru, il faut maintenant foncer, et prier."

Ménédas s'arrêta dans ses propos, il sentit en lui alors une bouffée de chaleur désagréable et surtout maléfique. Son coeur se glaça, il trembla et se sentit fort...et nourrit de désespoir et de malheur, soif de vengeance... Il reprit la parole d'un ton cette fois si grave :

"Il faut les tuer...Allons tout de suite à leur rencontre...Venez avec moi, tuons-les..."

Il sortit une lame de sa ceinture, celle-ci était noire, fumante et ténébreuse. Le plat de la lame était parcouré par des nervures et zigzag de rouge sang. Rien que sa lame pouvait effrayer n'importe quel humain.

Shikoru ne comprenait plus rien de ce qu'il se passait. Cette homme semblait si résonnable, puis il devenait fonceur, voir même inconscient au vu de son expliquation qui fesait froid dans le dos. Mais quelquechose le préoccupait, Shikoru si sur de lui quelques secondes auparavent de souhaitait plus affronter ces monstres. Il se dirigea vers Médénas dans l'intention de le raisonner, mais à la vue de cette arme qui dégageait une aura maléfique il stoppa son mouvement.

C'est pas possible, quesque c'est que ca? J'peut pas l'arréter, il nous faut une solution... Vite!!!!

Arrètes toi!!! Tu dis toi même que s'ils ne sont que deux, cela ne durera pas longtemps. A quatre, on arrivera pas à tenir très longtemps! Ranges cette épée et partons le plus vite possible ils ne vont plus tarder! Je sais ce que tu ressens, et je suis dans le même etat que toi! Crois moi, ne nous sacrifions pas inutilement. Calmes toi et viens! On les aura!

Shikoru n'osait pas bouger jusqu'à ce que son nouveau compagnon soit calmer, en espérant que ses parole servent à quelquechose.

Pendant ce temps, à quelques lieux de là, Maxiaraust et Nessoh attendait l'arrivés des renforts, que le chat humain voulait avec impatience. En attendant leurs arrivées, il prit des branches sur les abres, et tailla avec son couteau l'extrémité de celle-ci, de façon à former une pointe, et à réaliser surtout une flêche à la fin de la celle-ci.

Ménédas était de plus en plus étrange. Andreas se serait presque attendu à devoir essayer de l'imobiliser. Son épée avait l'air vivante et sa main... Aussi morte qu'un cochon rotie. Il jeta un regard au nain et lui demanda : ''qu'est-ce que tu en pense?? devrions nous essayer de les combattre??

Bizarre... très bizarre... étrange même…. Sans omettre de passer le curieux, l’anormal et l’inaccoutumée. Si cela continuait d'avantage, le nain se sentirait obliger de décapuchonner l'homme, pour voir quelle sorte de créature se cachait-la.

Qui ça ?

Dit Gurdil a Andreas en guise de réponse.

Eux ou les ghrax ?

Je sais pas... En faite je pensais que tu allais me le dire. Je parlais des grhax, mais là je sais plus...

Andreas regarda les deux autres et vit l'expression de shikoru. Il ne voulait sans doute pas se battre, mais les grhax n'étaient pas invincible non plus. Un bon coup de lance dans les côtes et voila le travail. De plus eux ils était quatre et les grhax étaient deux.

Ménédas n'avait pas l,air d'avoir toute sa tête. Peut-être que l'une de ses personalité nous voulait mort et c'est pourquoi il avait changé d'avis... bref tout cela n'était que des hypothèses.

Je sais que l'idée de s'endfuir est bonne, mais d'aprèes moi, il est déjèa trop tard. Ces créatures ont faim et même si nous essayon de partir elles nous rattraperons tot ou tard...dit andreas au groupe.

le nain ne voyait plus qu'une seul solution, le vote.

Bon ben... on qu'a voter a main lever

dit t'il.

mois je vote pour affronter les graxs et froler la mort.

L'idée du nain était interressante. De toute façon, Andreas les pensait condamné à se battre. Il valait mieux se préparer que tenter de fuir et être prit par derrière. Il vota pour se battre. Il n'avait plus qu'a attendre les autres votes. Ménédas voterais sans doute pour la bataille, mais Andreas ne se fierait pas sur lui pendant la bataille. Il n'avait pas l,air sain d'esprit.

Ménédas entendit tout le discours de Toragon et Andreas, il éclata de rire:

"Hahaha, ont dirait des gamins! Voter ! Nous sommes en guerre, vous êtes vraiment des boulets! Je crois que je n'ai plus besoin de vous ! hahaha..."

Il pointa son épée vers les aventuriers et avanca vers eux..

"Hahaha, Je vais vous...."

Ménédas s'arreta de bouger, une drôle d'impression lui parcoura l'échine, et tout son environnent s'arreta de bouger et ne fit plus aucun son. Soudain un rugissement effrayant venait de derrière et un Ghrax sortit d'un buisson lui sauta dessus. Il fit un bon sur le côté et se remit sur pieds, le Ghrax était au milieu des aventuriers. Le Ghrax se revela aussi, il était étonnament grand, il mesurait facilement 2 mètres 20, une énorme hache denté était fixé dans son dos et sa main sale et poilu tenait une épée droite et longue mais cepandant abimée et rayé, usée par les os brisés de ses victimes. Puis d'autres cris effrayant déchira l'atmosphère et bouscula la paisible tranquilité de cette prairie, un grand nombre d'oiseau s'envolèrent des arbres...effrayés.

[Pour nous mettre tous d'accord nous sommes dans une prairie, à la lisère d'un bois d'où viennent les cris. La journée va bientôt laissai place à la nuit.(environ 17h/18h).]

l'arriver des grax n'arrangeait pas les chose, fallait t'il tuer ou s'en aller ?, De tout manière le nain voulait affronter les grax, il s'avança courageusement ver le monstre. La scène était a mourir de rire, un nain qui faisait pas plus d'un mètre 5 s'avançait pas a pas devant une immense créature de 2 mètres 2, et il avait l'intention de le tuer. Un pas... deux pas... trois pas... quatre pas... une fois a 6 mètres du monstre le nain s'enfuya le visage pale de frayeur et en jouant des claquette avec ses dents, Menedas avait forcement raison, le nain était un boulet.